J4 Ascension de l'ETNA - dimanche 10 juin 2018
J4 Ascension pédestre de l'ETNA
Lever 6h30, réveillés par les hirondelles et les klaxons, la chance est avec nous, grand beau ciel bleu... pour prendre le bus de 8h30 à la gare de Catania, en direction de l'ETNA. Nous y arrivons vers 10h30 après une grosse grimpette sur les pentes douces de la montagne aride. Nous choisissons un guide (qui se revelera assez peu amène et très macho envers notre "ancienne" vecchia) pour nous mener au sommet en toute sécurité. Un coup de télécabine pour monter plus vite, puis un tour de 4/4 type safari pour aller plus haut et nous voici fin prêts pour l'ascension. Le 4/4 nous pose à 2.900 m et nous grimpons à la queue leu leu, dans les champs de lave et les névés, jusqu'à 3.300 m. Les fumerolles deviennent irrespirables vers le sommet, les gaz bourrés d'anydryde sulfureux nous prennent à la gorge. Et nous piquent les yeux mais le spectacle est magnifique ! Un vent à décorner les boeufs nous glace les os. Il fait 5° en haut du cratère central. En se penchant, Jean a vu de la lave en fusion (parce qu'il est le plus grand). Le guide nous explique que les paysages changent tous les ans, les cratères bougeant de forme au gré des éruptions. La visi est de 80 km, on voit Syracuse à l'horizon, la mer des 2 côtés de la Sicile. Le paysage en bas est très aride, comme en espagne. On redescend dans des sentiers de petits cailloux de lave, on dirait qu'on marche sur des gâteaux secs. Déjeuner des restes de la veille qu'on avait mis dans un doggy bag, à l'abri du vent qui souffle en rafale. En en redescendant, on observe un tunnel de lave de 6 m de profond. Retour dare dare en télécabine pour descendre avant qu'elle ne ferme. Re-bus et visite de Catane, où le style baroque côtoie des immeubles anciens décrépis aux balcons en fer forgé.
Lever 6h30, réveillés par les hirondelles et les klaxons, la chance est avec nous, grand beau ciel bleu... pour prendre le bus de 8h30 à la gare de Catania, en direction de l'ETNA. Nous y arrivons vers 10h30 après une grosse grimpette sur les pentes douces de la montagne aride. Nous choisissons un guide (qui se revelera assez peu amène et très macho envers notre "ancienne" vecchia) pour nous mener au sommet en toute sécurité. Un coup de télécabine pour monter plus vite, puis un tour de 4/4 type safari pour aller plus haut et nous voici fin prêts pour l'ascension. Le 4/4 nous pose à 2.900 m et nous grimpons à la queue leu leu, dans les champs de lave et les névés, jusqu'à 3.300 m. Les fumerolles deviennent irrespirables vers le sommet, les gaz bourrés d'anydryde sulfureux nous prennent à la gorge. Et nous piquent les yeux mais le spectacle est magnifique ! Un vent à décorner les boeufs nous glace les os. Il fait 5° en haut du cratère central. En se penchant, Jean a vu de la lave en fusion (parce qu'il est le plus grand). Le guide nous explique que les paysages changent tous les ans, les cratères bougeant de forme au gré des éruptions. La visi est de 80 km, on voit Syracuse à l'horizon, la mer des 2 côtés de la Sicile. Le paysage en bas est très aride, comme en espagne. On redescend dans des sentiers de petits cailloux de lave, on dirait qu'on marche sur des gâteaux secs. Déjeuner des restes de la veille qu'on avait mis dans un doggy bag, à l'abri du vent qui souffle en rafale. En en redescendant, on observe un tunnel de lave de 6 m de profond. Retour dare dare en télécabine pour descendre avant qu'elle ne ferme. Re-bus et visite de Catane, où le style baroque côtoie des immeubles anciens décrépis aux balcons en fer forgé.
